Il détient un pouvoir de police dans l’enceinte de l’établissement, en vertu du Code de la santé publique », précise le juriste Jean-Paul Markus dans Le Monde. Lire aussi : Covid-19
Non du moins pas pour le moment. Selon l’OMS et les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), rien ne prouve
Leschiens peuvent également servir d’hôte de transport pour transporter les tiques de l’environnement extérieur dans la maison, où la tique pourrait tomber du chien et s’attacher à un humain. vaut une livre de cure est applicable à toute discussion sur les maladies infectieuses transmises par les tiques chez les chiens ou les humains.
Bienqu’ils ne puissent attraper le coronavirus Covid-19 eux-mêmes, les chiens et chats vivant avec des maîtres atteints du Covid-19 peuvent
Si quelqu'un a le Covid-19, il y a une chance étonnamment élevée qu'il le transmette à son animal de compagnie. Les chats, en particulier ceux qui dorment sur le lit de leur maître, semblent être particulièrement vulnérables. Donc si vous avez le Covid-19, je vous conseille de garder vos distances avec votre animal de compagnie et de le garder hors de votre chambre", a
Ilse peut même que le virus se soit propagé dans leurs selles, a-t-elle ajouté La chance que votre chien attrape la souche Covid-19 est
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Nettoyer son animal de compagnie est une bonne chose, mais attention à de ne pas en faire trop cela peut se révéler très dangereux ! Faut-il, par exemple, désinfecter pattes et coussinets après chaque sortie ? La réponse est non. Voici pourquoi. Non, il ne faut pas désinfecter systématiquement les pattes de son animal après chaque sortie Les vétérinaires s’accordent pour dire qu’il est inutile de désinfecter les pattes de son chien après sa balade. Ou même les coussinets de son chat, après son excursion extérieure favorite. Cela peut même être très dangereux. Les professionnels de la santé animale alertent régulièrement du danger de la désinfection de son animal de compagnie. La javel, le gel hydroalcoolique, les détergents sont à bannir. Cela peut entraîner des brûlures sévères de la peau, mais aussi de la langue et la gueule des animaux, puisqu’ils se lèchent après un nettoyage. De plus, les animaux peuvent se retrouver en situation de coma éthylique après avoir ingéré indirectement du gel. Surtout, n’utilisez jamais de produits contenant de l’alcool. Les animaux ne digèrent pas cette substance de la même manière que nous. Leur santé peut être gravement affectée, notamment avec des dommages digestifs son chat ou son chien après une balade nos conseils De temps en temps, il peut être utile de laver votre animal après sa promenade. Ce sera le cas s’il a été en contact avec une personne malade, un animal errant, ou un environnement peu hygiénique comme une poubelle. Pour cela, utilisez de l’eau et un savon ou du shampoing dédié. Un nettoyage classique fait l’affaire l’eau et le savon font disparaître les virus et autres bactéries. Dans tous les cas, il n’est pas recommandé de laver trop fréquemment son chien ou son chat. Espacez les nettoyages une fois par mois, maximum même pendant la période de pandémie actuelle. Vous pouvez en revanche lui laver les pattes plus fréquemment, durant l’épidémie de coronavirus. Pour cela, appliquez une lingette spéciale en vente chez votre vétérinaire ou un coton imbibé de produit désinfectant, comme la chlorhexidine, un produit sans danger pour les animaux, disponible dans les pharmacies. Attention toutefois à ce que votre chien ne présente pas de plaies sur les pattes le produit risque de lui faire très mal. L’avis du véto“Votre animal peut-il attraper le coronavirus ? Les scientifiques semblent encore divisés sur la question. Une chose est sûre il n’y a pas eu, pour le moment, de transmission du chat à l’homme. En revanche, il y a eu des suspicions de transmission inverse de l’homme au chat. Si vous êtes malade, ne prenez donc pas de risque et évitez tout contact avec votre animal. De plus, sachez que votre chien ou votre chat peut devenir un agent de propagation, même s’il ne développe pas la maladie. Lorsque qu’il été en contact avec un humain malade qui aurait laissé sur son pelage des gouttelettes de salive, par exemple.” Dr Cédric VermettiQuelques précautions à prendre Pour une bonne hygiène après les sorties de votre animal, voici quelques précautions à prendre, notamment en ces temps d’épidémie de coronavirus - Ne laissez pas votre chien ou votre chat entrer en contact avec une personne malade dans le doute, ne laissez personne hors de votre foyer le toucher pendant cette période. Tenez votre chien systématiquement en laisse quand vous sortez, pour être sûr de ce qu’il touche. - Après chaque balade de votre toutou ou sortie de votre matou, lavez-vous soigneusement les mains. - Désinfectez la laisse et le collier/harnais, en cas de contact avec un environnement suspect. Ces précautions prises, rien ne vous empêche de laisser vos animaux profiter de quelques belles promenades, aussi bonnes pour leur santé que pour leur moral !
La situation que nous vivons présentement peut causer bien des inquiétudes liées à la sécurité de nos animaux de compagnie. Nous voulons tous les protéger et veiller à leur bien-être! Nous jugeons donc important de vous transmettre les informations obtenues de nos experts en santé animale. COVID-19 le risque pour les animaux Dre Hélène Perras, vétérinaire Jusqu’en mars 2020, les scientifiques et les médecines vétérinaires ne croyaient pas que les animaux de compagnie, tels que les chats et les chiens, pouvaient être affectés par la COVID-19 ou la transmettre. Même si on suspectait fortement un animal sauvage en Chine comme ayant été la source initiale de la contagion. Depuis, quelques cas chez les animaux, comme ceux des tigres du Zoo de New York, ont développé des symptômes respiratoires et nous font revoir cette théorie. Dans le cas du zoo, leur gardien souffrait du virus alors qu’il était sur son lieu de travail. Un seul de ses grands félins fut testé sous anesthésie et le résultat s’est révélé positif à la COVID-19. Nous devons donc présager que les félins pourraient être susceptibles à la maladie. Ce sont des cas rares, ce qui rend la condition difficile à étudier. Il y aura certainement plus d’information au fil des prochaines semaines et nous vous tiendrons au courant. Nous suivons les recommandations des spécialistes du domaine. Pour le moment, il faut rester calme et garder en tête les points suivants Les transmissions se produisent essentiellement entre humains sous forme de contacts directs ou par des gouttelettes émises par la toux ou les éternuements. Il n’y a aucune raison de vouloir se départir de son animal dansle contexte actuel. Des centaines de milliers d’humains sur l’ensemble du globe ont été malades alors que beaucoup moins d’animaux semblent avoir été affectés. Si quelqu'un dans votre domicile est infecté, évitez tout contact entre votre animal et les autres animaux ou humains. Ne laissez pas votre chat seul à l’extérieur. Limitez tout contact étroit avec vos animaux si vous êtes atteints. Évitez aussi de tousser ou d’éternuer en direction de vos animaux. La distanciation sociale inclut vos animaux de compagnie. Gardez vos animaux loin des autres personnes et des animaux en dehors de votre foyer, comme vous devriez le faire avec vous-même. COVID-19 responsabilité sociale pour les propriétaires d'animaux Dre Hélène Perras, vétérinaire Tous les médias en parlent pour amoindrir les effets de la COVID-19 et réduire les décès, c’est à tous et chacun que revient la responsabilité d’assurer une distanciation sociale. Cette avenue est la seule approche efficace pour l’instant! qui peut réduire les risques de propagation. C’est en respectant collectivement cette directive qu’on protège nos aînés et les gens possédant un système immunitaire plus faible. Nous vous suggérons donc de cesser toute activité avec votre animal qui impliquerait un contact social rapproché comme Aller chez votre toiletteur; Prendre des cours de groupe avec votre animal; Ne pas respecter une distance d’au moins 1 mètre au parc à chiens et le visiter aux heures de pointe. C’est dans cette optique que Mondou n’accepte plus les animaux dans leurs magasins pendant la pandémie. En période de crise, mieux vaut prévenir les urgences vétérinaires Dre Hélène Perras, vétérinaire En cette période d’isolement, vous passez probablement beaucoup plus de temps à la maison avec votre animal. Ils sont de si bons compagnons, toujours de bonne humeur! Mais, ces changements d’habitudes peuvent aussi être source de dangers potentiels pour votre animal. Nous vous invitons à prêter attention dans votre quotidien à différentes situations afin de diminuer les chances de vous retrouver dans un centre d’urgence vétérinaire. Des exemples Un chien gourmand ayant accès à du chocolat noir, ce dernier étant toxique pour cette espèce; Un chien mordillant un bâton de bois qui se fracture une dent ou se blesse; Un animal qui s’échappe du domicile par la porte laissée ouverte et qui se fait happer par une voiture; Un animal qui ingère des médicaments ou de la marijuana laissés sur une table basse. De plus, évitez d’expérimenter avec votre animal de nouveaux types de divertissement qui pourraient s’avérer dangereux, comme le trampoline, lui faire tirer un traîneau ou le faire courir sur un tapis roulant. Les chiens aussi peuvent se blesser aux articulations, plus particulièrement aux ligaments croisés - comme l’élite athlétique! COVID-19 impact sur les services vétérinaires Dre Valérie Trudel, vétérinaire Jusqu’à nouvel ordre, la majorité des établissements vétérinaires restent ouverts et sont prêts à recevoir vos animaux en cas de besoin. Toutefois, seuls les cas urgents pourront obtenir un rendez-vous. Afin de limiter la propagation du virus, de protéger le public et de s’assurer que les membres du personnel vétérinaire ne contractent pas la maladie et puissent assurer la continuité des soins vétérinaires, l’Ordre des médecins vétérinaires demande à ses membres de se limiter uniquement aux cas urgents et essentiels. Votre médecin vétérinaire demeure donc disponible pour vous. De nombreuses cliniques privilégient les évaluations par téléphone ou la médecine par voies numériques. COVID-19 à quoi vous attendre si vous devez vous rendre chez le vétérinaire Dre Valérie Trudel, vétérinaire Si vous devez visiter votre vétérinaire, de nouvelles procédures sont mises en place afin d’assurer votre sécurité et celle du personnel. Leur objectif est tout simplement d’être en mesure de continuer à offrir les soins aux animaux dans le besoin en évitant au maximum la propagation du virus. Nous vous invitons à communiquer directement avec votre établissement vétérinaire pour être au courant de leurs procédures. Voici tout de même quelques informations générales Ne vous présentez pas sans avoir téléphoné au préalable, même pour acheter de la nourriture ou des médicaments. On vous expliquera la procédure à suivre. Une grande proportion des établissements vétérinaires ne permet plus à la clientèle d’entrer dans l’établissement. Seul votre animal y aura accès. Les communications se font par téléphone. Si vous revenez de voyage, si quelqu’un avec qui vous avez été en contact a des symptômes ou si vous-même avez des symptômes, NE SORTEZ PAS DE LA MAISON! Déléguez quelqu’un pour aller au rendez-vous à votre place et avisez le vétérinaire pour limiter les risques de contagion. Soyez patient, gardez toujours une distance de 1 à 2 mètres autour des gens qui vous entourent et, comme la situation évolue rapidement, restez à l’affût de nouvelles directives. COVID-19 quoi faire avec votre animal si vous êtes affecté Dre Valérie Trudel, vétérinaire La chose la plus importante, n’abandonnez pas votre animal. Comme il n’existe actuellement aucune preuve que votre animal puisse être lui-même atteint du virus et activement contagieux, il suffit de suivre quelques règles de base. Si quelqu’un habitant votre foyer tombe malade, tous les résidents de cette demeure sont alors considérés en quarantaine, même pitou et minou. Tout le monde RESTE À LA MAISON! Ça veut aussi dire qu’on ne laisse personne de l’extérieur flatter nos animaux et qu’on limite les marches dans la cour ou tout près. Lors de contacts directs ou d'éternuements, le virus pourrait » se déposer sur leur pelage ou leurs plumes. Nos animaux pourraient » alors contribuer à contaminer les autres membres du foyer ou n’importe quelle surface de la maison ce sont des risques difficiles à quantifier. Ainsi, la personne malade devrait limiter autant que possible ses contacts avec les animaux. Si on veut être encore plus prudent, on peut même éviter de flatter, câliner ou embrasser nos animaux pendant la période de contagion, qu’on présente des symptômes ou non. En terminant, rappelez-vous de suivre les recommandations émises par les responsables de la santé ainsi que notre gouvernement, ceci devient notre priorité. Et comme plusieurs le mentionnent à l’aide d’un arc-en-ciel ça va bien aller!
Un chien a bien été diagnostiqué positif au coronavirus SRAS-CoV-2 à Hong-Kong, pourtant cela ne veut pas dire que tous les animaux domestiques vont être contaminés ou contaminer leurs maîtres. Crédits Julian Hochgesang / Unsplash. Au début du mois de mars, une femme atteinte du COVID-19 s’est présentée chez son vétérinaire à Hong-Kong. À sa demande, celui-ci a testé son chien pour détecter si il était positif au coronavirus SRAS-CoV-2. Après analyse, le canidé domestique a été diagnostiqué “faiblement positif”. Des particules virales ou virions existaient en faible quantité dans ses cavités nasales et orales, humides et donc propices à leur survie. Bien que ne présentant aucun symptôme lié à l’infection, il a été placé en quatorzaine. Les scientifiques suspectent aujourd’hui que sa maîtresse probablement très câline lui ait transmis ces particules virales sans que celle-ci ne génère d’infection véritable. Ce cas particulier pose néanmoins la question de la transmissibilité du virus chez nos animaux domestiques, comme le chien. Comme le relève de nombreuses études menées sur le SRAS-CoV, le coronavirus à l’origine de la première épidémie de SRAS en 2003, et sur son successeur actuel, ce type de coronavirus provient très certainement d’une transmission animal-humain, aussi appelée zoonose. Depuis quelques années, la chauve-souris rhinolophe Rhinolophus sp., vivant dans certaines régions d’Asie, est un vecteur avéré du coronavirus du SRAS. Celle-ci ne serait néanmoins pas parvenu à contaminer l’être humain directement. Le phénomène de zoonose se serait déroulé à l’aide d’une espèce dite “réservoir”, qui a joué le rôle d’hôte intermédiaire du virus. D’après de premières analyses génomiques comparatives effectuées entre les échantillons du virus et des génomes de divers animaux-candidats, il semblerait qu’il s’agisse en l’occurrence du pangolin. De nombreuses espèces de pangolin sont braconnées puis vendues comme denrée alimentaire, par exemple, au marché aux poissons de Wuhan, foyer du virus SRAS-CoV-2. C’est probablement dans ce genre de contexte que l’animal réservoir a transmis le virus à l’homme après avoir été contaminé, au préalable, par l’espèce vectrice. Fort de cette découverte, le gouvernement chinois a depuis interdit temporairement la vente ou le transport d’animaux sauvages sur son territoire. De l’animal à l’homme, et vice-versa ? Le processus de zoonose reste très précis. Le fait qu’un même virus puisse se transmettre d’un animal à l’être humain comme depuis le porc avec la grippe H1N1 ou depuis certains oiseaux avec H5N1 ne signifie pas que tous les animaux puissent en être infectés puis infecter notre espèce. Chaque virus possède un type de cible auquel il s’attaque. Si cette cible – à savoir, des récepteurs membranaires de cellules spécifiques d’une espèce donnée – ne possède pas les caractéristiques protéiques qui définissent sa structure moléculaire et donc génétiques requises, le virus n’a en théorie aucune chance de l’infecter. La zoonose se produit simplement lorsque dans au moins deux espèces animales précises, dont l’Homo sapiens, le virus retrouve exactement la même cible à atteindre par similarité génétique en la matière entre les deux espèces ou à la suite d’une mutation pratique du virus. Le coronavirus SRAS-CoV-2 s’attaque d’abord au récepteur membranaire ACE2 pour pénétrer dans les cellules pulmonaires puis, une fois à l’intérieur, au récepteur TMPRSS2 de protéases – enzymes que le virus peut utiliser – pour se reproduire et générer une infection. La présence de ces deux récepteurs ou “cibles” a été identifiée chez l’être humain et la chauve-souris rhinolophe. Ainsi, pour le moment, comme le souligne The Next Web, il n’existe aucune preuve de la transmissibilité du coronavirus SRAS-CoV-2 chez les chiens ou les chats, ou toute autre espèce animale chez qui l’infection n’a pas été relevée de manière avérée. Les chiens peuvent néanmoins être infectés par d’autres coronavirus. Dans les années 1970, un coronavirus du genre alphacoronavirus, le CCoV pour “canine coronavirus”, a été découvert à l’origine d’une pathologie intestinale chez le chien Canis lupus. En 2003, des virologues se sont aperçus qu’un coronavirus du genre bétacoronavirus le même que celui du SRAS-CoV-2, le CRCoV, pouvait entraîner un syndrome respiratoire, similaire à la rhinite humaine ou rhume, chez les canidés. Le chat Felis silvestris, quant à lui, peut être infecté par deux espèces d’alphacoronavirus le FECV, de type intestinal, et le FIPV, qui entraîne une péritonite. Fonpoo Ensemble Lot de 10 de... ★Gardez votre chien loin de la solitude. Les jeux de jouets peuvent soulager l'anxiété de...★Le jouet à mâcher peut prévenir les maladies des dents. Pendant la période de mâcher...★Dix sortes différentes de jouets pour de jouets comprend des jouets...★Couleur lumineuse et jouets ont une couleur remarquable qui attire beaucoup...
Les contaminations d'animaux au Covid-19 se multiplient dans le monde. Après plusieurs cas recensés en Chine, à Hong Kong ou encore en Belgique, un zoo du Bronx, à New York, annonçait dimanche 5 avril qu'un de ses tigres avait été testé positif au Covid-19 . Trois autres tigres et trois lions du zoo présentent également des "symptômes respiratoires" et, selon le parc, ces félins auraient "été infectés par une personne qui s’occupait d’eux". Mais ces cas sont-ils vraiment nombreux ? Sait-on si un être humain peut contaminer un animal ? Comme l'explique Libération, des milliers de tests de dépistage ont été menés en Chine, à Hong Kong ou aux États-Unis sur des animaux qui avaient été en contact prolongé avec des humains contaminés par le Covid-19. Et seulement deux chiens et un chat ont été testés positifs à Hong Kong, ainsi que onze chats à Wuhan, en Chine. À Hong Kong, des tests sanguins menés sur le premier chien ont permis de constater une réaction immunitaire spécifique à l'infection. Toutefois, si l'animal ne présentait aucun symptôme suspect, l'analyse génétique du virus comparée avec les échantillons issus de sa propriétaire suggèrent une contamination par l'homme. "Pas de preuves" de contaminationPour le second chien, le virus a été détecté dans des prélèvements nasaux et l’animal, bien que placé en quarantaine avec un second chien, est resté le seul contaminé. Concernant le chat, il ne présentait pas de symptôme infectieux et "les échantillons de cavité buccale, nasale et rectale ont été testés positifs", selon les autorités sanitaires de Hong Kong. En Chine, une étude menée sur 102 chats a révélé la présence d'anticorps qui trahissent une réaction à l'infection chez onze d'entre eux. Par ailleurs, le taux d'anticorps était le plus élevé chez trois chats qui appartenaient à des personnes contaminées. Aussi, selon les résultats d’expériences menées en laboratoire, le virus pourrait se transmettre entre chats et pourrait infecter les furets mais il lui serait très difficile de se répliquer chez les chiens, les canards, les poules et les cochons. Néanmoins, comme le précise Libération,"il n'existe actuellement aucune preuve que les animaux de compagnie ou d’élevage puissent contaminer l’homme". De même, l'Organisation mondiale de la santé animale rappelle qu'il "n'est pas justifié de prendre des mesures à l’encontre des animaux de compagnie qui pourraient compromettre leur bien-être". Aussi, pour mieux s'y retrouver, des associations de vétérinaires telles que l’AFVAC, le Formavet ou le collectif Zétérinaires rassemblent les études menées sur le sujet. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info
un chien peut il attraper le covid